En jaune, les macrophages du foie, ou cellules de Kupffer, qui sécrètent la protéine IL-12 à l’origine d’effets indésirables liés à l’immunothérapie. En bleu, les vaisseaux sanguins.
En jaune, les macrophages du foie, ou cellules de Kupffer, qui sécrètent la protéine IL-12 à l'origine d'effets indésirables liés à l'immunothérapie. En bleu, les vaisseaux sanguins. UNIGE - Mikaël Pittet - En identifiant le mécanisme de la toxicité des immunothérapies, des scientifiques de l'Université de Genève et de la Harvard Medical School ouvrent la voie à des traitements contre le cancer avec moins d'effets secondaires. Depuis quelques années, l'immunothérapie constitue une véritable révolution dans le domaine des traitements contre le cancer. Néanmoins, des réactions inflammatoires dans les tissus sains déclenchent fréquemment des effets secondaires qui peuvent être graves et conduire à l'arrêt définitif du traitement. Or, cette toxicité reste encore mal comprise et constitue un frein important à l'utilisation de l'immunothérapie. Des scientifiques de l'Université de Genève (UNIGE) et de la Harvard Medical School sont parvenu-es à établir les différences entre les réactions immunitaires délétères et celles visant les cellules tumorales qui sont désirées.
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