La saleté dans nos poumons

Les particules dangereuses pénètrent profondément dans les voies respiratoires.
Les particules dangereuses pénètrent profondément dans les voies respiratoires. Un simple masque de protection n’empêche pas les particules fines d’entrer. Photo: Liam Burnett-Blue / Unsplash
Les valeurs limites actuelles pour les poussières fines dans l'air sont basées sur la quantité et la taille des particules. Mais pour la santé, ce n'est pas seulement la quantité de poussière qui est déterminante, mais aussi sa composition. Les chercheurs de l'Empa ont comparé le potentiel nocif des particules en Suisse et en Chine. Celui qui est soudainement secoué par une toux incontrôlable par une journée nuageuse peut, en fait, souffrir des conséquences d'une charge de poussière fine dans l'air trop. Des problèmes respiratoires, des maladies circulatoires ou même le cancer du poumon peuvent être causés par des particules minuscules. Les particules en suspension émises par l'homme contiennent, par exemple, de la suie, des métaux et des nanoparticules synthétiques. Afin de mieux contrôler la qualité de l'air, une nouvelle ordonnance plus stricte sur la protection de l'air (LRV) est entrée en vigueur en Suisse le 1er juin 2018. Cette mesure permet de fixer une deuxième valeur limite, PM2,5, pour les solides en suspension encore plus fins que les PM10. Cependant, les deux valeurs ne sont basées que sur la quantité de particules jusqu'à une certaine limite de taille, c'est-à-dire 10 ou 2,5 micromètres de diamètre. Dans une étude récente, les chercheurs de l'Empa ont montré que la quantité pure n'indique pas nécessairement le potentiel nocif des poussières fines. How dangerous is particulate matter - An analysis
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