Champs de soja dans la forêt tropicale atlantique (image : depositphotos)
Champs de soja dans la forêt tropicale atlantique (image : depositphotos) - Pour protéger les surfaces forestières au Brésil, il existe des engagements volontaires selon lesquels les négociants en soja n'achètent pas de soja provenant de zones nouvellement déboisées. Deux nouvelles études montrent à quel point ces directives ne protègent pas suffisamment le Brésil contre la déforestation - et quel serait leur potentiel si elles étaient appliquées à plus grande échelle. La production de soja ne cesse d'augmenter. On estime qu'environ 480 000 hectares de forêt tropicale sont déboisés chaque année pour cultiver du soja. Une équipe de recherche internationale composée d'économistes et de géographes a étudié l'efficacité des "engagements zéro déforestation", qui devraient orienter la production et l'approvisionnement en soja au Brésil vers des zones déjà défrichées. Les chercheurs ont analysé l'impact du moratoire Amazon Soy (ASM) en Amazonie brésilienne sur la protection des forêts et la déforestation. Ils ont également étudié des scénarios sur l'effet qu'aurait la mise en oeuvre de nouveaux engagements mondiaux sur la déforestation au Brésil et dans le monde.
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