Michel Mayor a reçu le titre de docteur honoris causa de l'EPFL en 2002. A gauche: Stefan Catsicas.
En 2002, l'École remettait un doctorat honoris causa à Michel Mayor, astronome à l'Université de Genève, pour la découverte de la première exoplanète. Mardi, il recevait le prix Nobel de physique aux côtés de son collègue Didier Quéloz et de l'américain James Peebles. De quoi se réjouir sur le campus. «La pluralité des mondes a quitté le domaine des rêves pour devenir un sujet d'étude. Ainsi Michel Mayor décrivait-il, lors de la Magistrale de l'EPFL de l'année 2002, la découverte réalisée avec son collègue Didier Quéloz: celle de la toute première planète extrasolaire. Il lui était alors remis un doctorat honoris causa de l'EPFL. Hier, pour cette même avancée, les deux astrophysiciens de l'Université de Genève recevaient le Prix Nobel de physique.
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