â’ 2017Istock
Des chercheurs de l'EPFL proposent une nouvelle approche pour réaliser les tests in vitro sur nanoparticules, qui permettraient d'améliorer la transition vers les tests in vivo. Il s'agit de reproduire en laboratoire les turbulences auxquelles ces particules sont confrontées dans le corps humain. Prometteuses pour une utilisation dans le domaine médical, notamment, les nouvelles nanoparticules, tout comme les nouveaux traitements, doivent, avant dâ?'être injectés dans le corps humain, passer de nombreuses étapes de validation. Des tests ont dâ''abord lieu en laboratoire, puis sur des êtres vivants, avant d'arriver à l'humain. Or, bien souvent, les résultats obtenus in vitro ne correspondent pas à ce qui se passe chez lâ?'animal. Forts de ce constat, des chercheurs de lâ''EPFL ont reconsidéré la façon dont sont réalisés les tests in vitro . Dans une publication parue dans la revue Small , ils expliquent quâ?'il est possible dâ''éviter ces incohérences, en remplaçant les tests in vitro traditionnels et statiques par des tests dynamiques.
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