Les maladies dégénératives tapent sur le système

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Image de microscopie de cellules de fibroblastes colorées pour l’ADN (bleu
Image de microscopie de cellules de fibroblastes colorées pour l’ADN (bleu), la protéine PER2 (vert) et le PER2 phosphorylé (rouge). La protéine PER2 peut être détectée dans le noyau aux côtés de l’ADN, alors que le PER2 phosphorylé ne peut être détecté que dans le cytoplasme des cellules. (Image: A. Brenna et I. Olejniczak / CC BY 4.0)
Les perturbations prolongées du rythme quotidien sont néfastes pour la santé. Des chercheurs de l'Université de Fribourg ont découvert une protéine qui en est probablement la cause. Cette protéine est impliquée à la fois dans les maladies neurodégénératives et dans le fonctionnement de l'horloge interne. Elle s'avère donc particulièrement intéressante à étudier. Une équipe de chercheurs dirigée par Urs Albrecht de l'Université de Fribourg a identifié un mécanisme mettant en évidence un lien entre les maladies neurodégénératives, comme Parkinson ou Alzheimer, et les perturbations prolongées du rythme journalier. Appelée kinase cycline-dépendante 5 (CDK5), cette protéine nouvellement identifiée est responsable de la régulation de nombreuses fonctions du cerveau et joue un rôle dans les maladies de Parkinson et d'Alzheimer. Les chercheurs ont constaté une interaction entre la protéine Period2, qui remplit une fonction clé pour le fonctionnement de notre horloge interne, et la CDK5.
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